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elections présidentielles 2022 - Page 5

  • VANVES ET LES PRESIDENTIELLES 2021 : LES CANDIDATS LR FRANCILIENS SONT MAL BARRES

    Les vanvéens Républicains ont participé au vote samedi dernier qui a  décidé  à 58% d'organiser un congrès pour choisir leur candidat, et  de réserver la désignation de leur candidat aux seuls adhérents du parti. «Respectueuse de leur volonté et constante dans  mon engagement de jouer collectif, j‘en serai !» a réagie V.Pécresse  à la suite de la décision  des 79 181 adhérents des Républicains. La primaire ouverte n'a recueilli que 40,4% des suffrages exprimés. Comme  Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Michel Barnie  et Philippe Juvin ont aussitôt confirmé leur intention de se plier à cette décision. «Nos adhérents ont fait le choix d’un congrés. Le 4 Décembre, ils seront invités à désigner celui qui sera notre candidat. La fidélité envers ma famille politique a toujours été pour moi une valeur cardinale. C’est donc avec honneur et fierté que je me présenterai» a tweeté Philippe Juvin président de la fédération LR 92.  

    Valérie Pécresse a regrettée que l’UDI et les centristes soient exclus du congrés. Mais elle ira les rencontrer pour présenter sa candidature devant eux. Et on la comprend, car aux yeux des français comme à ceux des adhérents LR, le président des Hauts de France est devant la présidente de l’Ile de France selon les sondages. « Quel que soit l’adversaire, il est systématiquement vu comme le meilleur rempart» expliquait Frédéric Dabi DG de l’IFOP. D’autant plus que de Valérie Pécresse souffre d’un double handicap : Les militants et les élus LR (dont une bonne partie des sénateurs) lui préfèrent Michel Barnier, car elle a quitté les Républicains après les Européennes, et a choisi Alain Juppé plutôt que François Fillion pendant les dernières primaires. Sans parler de sa personnalité et de son manque de convivialité ou de compassion. Sa seule porte de sortie serait de passer un deal avec Xavier Bertrand puisque l’objectif de Jacob est d’arriver à un consensus sur un candidat que le Congrés du 4 Décembre n’aurait qu’à entériner. En attendant, les candidats non-LR – Xavier Bertrand et Valérie Pécressse - n’auront pas à s’encarter pour se présenter. Mais ils devront engranger 250 parrainages d'élus pour concourir.

    Un seuil difficile à atteindre pour certains candidats, notamment pour Philippe Juvin, selon les spécialistes qui a défendu sa candidature sur le terrain par des visites à travers la France, insistant comme il l’a fait aux journées parlementaires LR,  sur la nécessité du rétablissement de l'ordre, sur l'importance de redonner de la liberté aux Français et sur les moyens de retrouver la voie de la prospérité. Ainsi que dans les médias, en mettant l’accent sur son parcours professionnel et son expérience de terrain en temps qu'élu et médecin. «J'apporte un parcours qui n'est pas le parcours des autres» déclarait il récemment. Tout en pointant les candidats qui «ont été ministres il y a quinze ou vingt ans», en mettant en avant son expérience de terrain, en tant que maire de La Garenne-Colombes, dans les Hauts-de-Seine, et médecin-chef des urgences à l’hôpital Georges Pompidou. «Je gère une ville correctement depuis vingt ans, que j'ai désendettée. Je sais diriger des équipes. J'ai été député européen, je sais ce qu'est le poids réel de la France dans les institutions et je sais ce qu'il faut changer en Europe. J'ai été militaire volontaire en Afghanistan. J'ai d'une certaine manière, même si je n'étais pas combattant, risqué ma vie pour mon pays» détaille Philippe Juvin. Il souhaitait par ailleurs que le candidat LR soit désigné d'une manière très large au-delà de son parti, Les Républicains, grâce à cette primaire refusée par les militants.

  • VANVES EN MARCHE ARPENTE DEJA NOS RUES POUR LE CHEF DE L’ETAT

    Vendredi à l’îlot du métro, lundi place du VAL (de Lattre de Tassigny), mardi sur le plateau devant Carrefour Market, les militants d’En marche vanvéens ont distribué un tract rose avec l’effigie du chef de l’Etat « cinq ans de plus ! ». Alors que le président Macron n’est pas encore candidat, que la maire de Paris s’est déclarée ce dimanche, après les franciliens Valérie Pécresse présidente de la Région Il de France, et Philippe Juvin, maire de La garenne Colombes et Médecin Chef des urgences à l’hôpital Georges Pompidou. Ses militants surtout des jeunes, ont plutôt été bien accueillis, insistant sur le fait que « nous avons tenu 90% de nos promesses».

    Vanves fait parti des 60 Villes choisies ce week-end pour mener déjà campagne, leur leader Stanilas Guerini, délégué général LREM  montrant l’exemple à Paris en expliquant : « Si on ne met pas en avant notre bilan d’ici à la fin de l’année, on ne fera pas en 2022». Un bilan économique que 40% des français jugent positif. D’ailleurs comme le fait remarquer, un de ses militants : «Les sondages sont bons. Ils confirment l’avance  d’Emmanuel Macron qui fait la course en tête au 1er tour». Gabriel Attal (sur la photo lors du forum des associations) expliquait récemment dans un grand quotidien du soir que «Si Marine Le Pen n’était pas au second tour de la présidentielle, ce serait une excellente nouvelle. La capacité d’un pays à se rassembler se mesure aussi  aux poids des extrêmes. Or depuis 2017, nous avons fait baisser le RN qui a perdu des sièges à chaque élection intermédiaire. A la fin du quinquennat, il y aura 30% de moins d’élus RN qu’à la fin de celui de François Hollande. Si cela avait été l’inverse, on entendrait l’opposition nous l’imputer»

  • VANVES ET LES ELECTIONS PRESIDENTIELLES : DES ELUES FRANCILIENNES EN VEDETTE DES UNIVERSITES D’ETE POLITIQUES

    Peut être que quelques vanvéens ont participé à ces universités d’été des écologistes, du mouvement libres, du PS où notamment ce week-end des élues franciliennes, candidates à la candidature à la présidentielle se sont illustrées : Valérie Pécresse (Libres), présidente de la Région Ile de France et Anne Hidalgo (PS)  maire de Paris pourraient très  bien par le hasard de la plitique qui réserve bien des surprises se retrouver en concurrence pour l’Elysée. Elles ont l’habitude de s’affronter lorsque la situation se tend entre la région et la capitale sur fond de Grand Paris, de transports, de lutte contre la pollution etc… la première défend une métropole-Région alors que la seconde défend la MGP  en ayant manoeuvré pour que P.Ollier son président fasse un second  mandat en Juillet 2020 alors la président de région avait envoyé ses lieutenants à l’assaut de la MGP dont le président du groupe LR au Conseil Régional et porte parole de Libres, Vincent Jeanbrun à deux doigts de lui piquer son siège,  avec la complicité de Jean Didier Berger, son 1er Vice président maire de clamart et Secrétaire Général  de Libres.

    Seul problème pour Pécresse, la primaire, puisque, après le retrait de Vauquiez et Retailleau, il en reste trois avec Michel Barnier, Eric Ciotti,  et un  francilien membre de sa majorité au Conseil Régional : Philippe Juvin, maire de La Garenne Colombes et président des Républicains des Hauts de Seine :«Je suis candidat à la présidentielle parce que la crise nous oblige à tout changer. Il faut penser avec des méthodes, des visages et des parcours nouveaux » expliquait il fin Juillet,  dans le Figaro fort de son expérience face à crise sanitaire qu’il a vécu en première ligne en tant que chef du service des urgences de l’hôpital Pompidou et qu’il a relaté dans un livre en dénonçant la gestion calamiteuse de l’épidémie et en jugeant un quinquennat «fait d’immaturité, d’autoritarisme et d’amateurisme».

    Mais, il est possible qu’elle saute cet obstacle avec le retrait du président de la Région Auvergene-Rhône-Alpes. Comme l’expliquait Bruno Jeudy dans Paris, «à la tête de son mouvement, Libres, elle prépare en coulisses son affaire depuis deux ans. Son équipe, composée de Patrick Stefanini, vétéran des campagnes présidentielles (il a dirigé celles de Jacques Chirac et de François Fillon), du chiraquien Frédéric Lemoine, d’Alexandra Dublanche (vice-présidente de la région) et de l’ex-plume de Fillon Igor Mitrofanoff, élabore son projet présidentiel. Car Pécresse se pose en « candidate des idées et des valeurs ». A La Région, elle peut comptersur ses fidéles pour tenir la maison, les vice présients Jean Didier Berger, 1er Vice Président, Othman Nasrou, Frédéric Péchenard, le président du groupe LR, Vincent Jeanbrun. Aux Républicains elle promettait, samedi à Brives (Corréze), de «jouer collectif» en s’inscrivant dans la droite ligne de Jacques Chirac «qui m'a mis le pied à l'étrier et m'a enseigné la politique» et en  évoquant la Corrèze comme sa «terre d'adoption et son refuge» : «Si je suis candidate, c'est pour gagner, alors je ne lâcherai rien. Ma détermination est intacte». Assurant que «nos idées et nos solutions sont plébiscitées partout», elle s'en dit certaine, «la droite peut et doit gagner la présidentielle de 2022».

    La veille à Blois, Anne Hidalgo,  maire de Paris a fait un pas de plus vers une candidature à la candidature aux présidentielles en participant aux «journées d’été» du PS, à une quinzaine de jours  de la publication de son livre-programme. «En ce qui me concerne, avec vous, avec toute cette équipe, j’ai dit que je prendrai ma part» a-t-elle déclarée. «Nous allons être cette force politique qui va porter ce projet et qui va aller à la rencontre des français» a-t-elle poursuivi, en considérant : «On est à la croisée des chemins, au pied du mur, ça n’a jamais été aussi vrai pour l’enjeu climatique, mais aussi pour la fracture sociale qui en train de tuer le pacte républicain»